L'IRAN AU PRINTEMPS





Ce blog a pour but de vous faire partager notre voyage de 15 jours en Iran. Il n’a aucune prétention et ne se veut pas une  analyse du régime politique ni de la société iranienne Nous ne sommes pas dans le jugement mais dans la perception quotidienne qui fait partie de la condition fondamentale du voyage. C’est un Iran tourné vers l’autre avec une immense envie de communiquer que nous avons rencontré pendant No Rouz 2014 ( Nouvel An perse). Bien au-delà de tous les reportages de nos télés qui ne font que marteler nos standards d’Européens et ce n’est pas parce que l’on porte le foulard que l’on n’est pas  moins féministe. Bref, il faut élargir la fenêtre  pour  voir et recevoir. Ce n’est pas parce que nous venons du pays de Voltaire et de Rousseau que nous détenons la clé .
Nous savions qu’en Iran, l’hospitalité est légendaire mais ce fût  au-delà de toutes nos attentes. Malgré les renseignements décourageants sur la Page du Ministère des Affaires étrangères en France,  n’hésitez pas rendre visite aux Iraniens. Oui l’Iran se mérite mais vous en  serez  généreusement récompensé.


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Carte Iran Lonely planet

En noir par train, vert en autobus
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PERSAN
Pour communiquer et faciliter le contact,   je recommande ce livre qui en plus du vocabulaire, donne une foule d'informations.


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BUDGET
1 € = 40000Rials (ou même 41000) 4000 tomans (avril 2014)
Nuits d'hôtel en ligne en moyenne 30 € - 000 1 250 rials (Shanghai 1 € = 41 000 rials)
par nuit pour une chambre double avec sdb + toilettes.


Teheran Café Narderi
Café Nardéri  Téhéran


Pour ce qui est de la restauration, il est un peu difficile de trouver un large choix de restaurants même simples. Nous avons tellement l'habitude en Europe de trouver une pléthore de gargotes, en Iran ce n'est pas le cas. Si vous faites, de plus attention à ce que vous manger, pour ne pas être chavirés pendant le voyage, le choix est vraiment restreint. Nous pensons que pour bien manger en Iran, ça se passe dans les familles. 

De Téhéran Taxi: 50 000 / 100 000 rials (€ 1,20 à 2,50 €)
Train Teheran Yazd avec réservation depuis l'Europe  644000 Rials pour 2. Soit 8 € par personne
Bus Yazd Shiraz  6 /7 heures   400 000  Rials pour 2 soit 5 euros par personne.
l'iran vu de l'autobus
Les plateaux iraniens entre Yazd et Shiraz du bus

Bus Shiraz Kashan 500 000 Rials pour 2   soit 6 € par personne. Bus très confortable
Bus Qom Teheran 160000 Rials pour 2 soit 2 € par personne
Les bus en Iran peuvent être très bien équipés : repose pied en continuation du siège, vous pouvez être quasiment allongé.
Musées et sites historiques s 100 000 à 300 000 Rials  par personne


Dans le bus, siège inclinable avec repose pied , idéal pour les trajets de nuit

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1 € =    40/41 000 rials
Soit 4000/4100 tomans
Nuit hôtel 30 à 45 USD le double sdb
Toilettes
 Repas 000A 300 800 000 rials pour 2
Soit 4 à 8 € par personne
Téhéran
Hôtel Gollistan
Metro Hassen Abad
30 € (période Rouz  
Teheran se vide donc bon marché)
Téhéran
Restaurant
Sofre Torsh Ayyaran
Ferdowsi
      700 000 Rials par per
Soit 9 € par pers
Excellent  plats typiques

Téhéran
Café Nardéri
Ferdowsi vers les  marchands de change
Restaurant plus cher que
La moyenne
Ambiance Années  60
Avec mobilier authentique
Yazd
Hôtel KOUROSH
Traditionnel - vieille ville
Personnel sympa
Chambre borgne
En raison affluence No Rouz
1 200 000 rials = 30 €
Yazd

Silk Road Hôtel restaurant
Sympa – bon choix boissons et plats, thés
Repas à 2 500 000 rials
Soit 12 € à deux
Shiraz

Hôtel  Golshan
Traditionnel – sympa bonne musique- joli patio
30  € la chambre double
Dernière nuit dans petit dortoir
Shiraz
Restaurant tradionnel Bazar Vakil
Fréquenté par les bazaris,
Riz Safrané et viande délicieux
280 000 à 2! soit   7 € pour 2
Ispahan
Hôtel Sunrise
Neuf mais de type traditionnel confortable personnel bizarre
1 280 000 Rials 32 €
Kashan

Negin traditionnel Maison
Très confortable,  restaurant dans l’hotel
Chambre 32 €
Kashan
Restaurant Tabatei
Maison
Restaurant dans le petit palais servi sur des tach)t ( lit-table - excellent
9.5 € pour 2



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NO ROUZ




Norouz est sans doute la fête religieuse et nationale la plus importante et peut-être la plus ancienne de l’Iran. Bien qu’elle ne soit pas citée dans l’Avesta, livre sacré des Zoroastriens, cette fête a été mentionnée comme fête religieuse dans plusieurs textes datant de la Perse d’avant l’Islam.
extrait de la Revue de Téhéran  - Negar Sâlehiniâ 

" Nog routch, forme originelle de Norouz, appartient à l’ancienne langue Pahlavi de l’Iran, langue officielle de l’époque des Sassanides. La première syllabe a été transformée, dans le persan d’aujourd’hui, en "now" (qui signifie nouveau) et dans la deuxième, "tch" s’est transformé en "z" : "Rouz" (qui veut dire jour).
Dans la plupart des textes anciens persans et arabes, Djamshid, l’empereur pishdadien de la Perse est cité comme le fondateur de cette fête.
Djamshid ou Djam est l’une des personnalités les plus célèbres de l’histoire de la Perse antique, dont l’origine remonte à l’époque indo-européenne, puisqu’il a été cité sous le nom de Yam dans les Védas, textes sacrés de l’Inde.
Ainsi est racontée la naissance de Norouz dans les textes persans et les œuvres des historiens musulmans : Norouz a été fondé par Djamshid, le jour où il prit possession de la terre. On dit aussi qu’il fabriqua une carriole avec laquelle il monta au ciel, ce qui étonna et rendit joyeux les gens, qui par la suite, célébrèrent cet événement.
Parallèlement à ces histoires fondées sur des croyances populaires, Abureyhan Biruni pense que ce nom est choisi parce qu’il représente le "front de la nouvelle année" puisque Norouz célèbre l’équinoxe du printemps et le commencement de la nouvelle année. Dans les textes de Zoroastre, prophète de la Perse antique vivant entre 1000 et 1200 ans avant Jésus-Christ, Norouz est cité comme la fête printanière de tous les peuples iraniens, depuis toujours célébré. Zoroastre a doté cette fête d’une dimension religieuse et sa célébration est devenue un devoir pour ses fidèles.
A notre époque, cette fête est la seule de l’ensemble des festivités de la Perse antique qui soit toujours célébrée chez tous les peuples iraniens en tant que fête officielle. En Afghanistan et au Tadjikistan, pays de culture et de langue iraniennes, Norouz est une fête nationale et officielle, elle est également considérée comme telle en République d’Azerbaïdjan.

La célébration de Norouz dans la Perse antique

              
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Les images taillées sur les murs de Persépolis représentent les émissaires des divers peuples vivant sous le pouvoir des Achéménides en traind’offrir des présents au roi. Ces images témoignent de la majesté de la célébration de Norouz à l’époque de cette dynastie.
Après la chute de l’empire des Achéménides et l’instauration du pouvoir grec par Alexandre, la Perse connu différents stades d’évolutions culturelles. Il est difficile, étant donné le nombre réduit de textes et de témoignages datant de cette époque, de porter une opinion sur la culture et surtout sur la manière ancienne de célébrer Norouz. Il en est de même en ce qui concerne lescinq cents années de l’empire des Arsacides. Néanmoins, certains faits et indices témoignent de la célébration plus ou moins constante de cette fête, impératif religieux chez les zoroastriens dont la religion était la religion officielle de la dynastie des Arsacides. De plus, sous l’empire des Sassanides, Norouz était fêté à grands renforts de rites et de cérémonies grandioses témoignant d’une longue tradition en la matière.
Les écrivains de l’époque islamique qui ont beaucoup cité la dynastie des Sassanides dans leurs textes, décrivent la splendeur avec laquelle cette fête était organisée à la cour et par le peuple. D’après ces textes, les rois cherchaient à rendre le peuple joyeux et les gens chômaient ce jour-là et en profitaient pour se reposer et se divertir. En ce jour, les rois recevaient les tributs et procédaient aux nominations et aux destitutions. Frapper la monnaie, nettoyer les temples de feu, sacrifier, planter des arbres, faire des constructions…faisaient partie des activités auxquelles on s’adonnait en ce jour.
Certains rois comme Ardeshir Babakan, Bahram-eh-Gour et Anoushiravan offraient leurs habits au peuple et recevaient des présents en échange.
Le roi fixait un jour précis pour recevoir le peuple et personne n’avait le droit d’empêcher les gens d’entrer au palais. On annonçait l’audience publique quelques jours à l’avance pour laisser aux gens le temps de prendre leurs dispositions. Toutes plaintes et requêtes pouvaient y être présentées, même contre le roi lui-même. Les plaintes contre ce dernier étaient examinées par les grands de la cour et de la religion. Les différents entre les gens étaient résolus sur place. L’une des fonctions sociales des fêtes, surtout celle de Norouz, fut et reste la réconciliation de tout un chacun.
Faire pousser des grains de céréales, préparer diverses sucreries et mets, composer et jouer de la musique, chanter des mélodies joyeuses, jouer des pièces de théâtre et s’adonner à différents loisirs, faisaient aussi partie du rituel de ces festivités.
A l’époque des Sassanides, il était coutumier d’allumer du feu le soir du nouvel an, d’une part en signe de respect pour cet élément sacré et d’autre part, en raison de la croyance des Perses selon laquelle les âmes des défunts rejoignaient leur famille pour passer Norouz avec eux. Ainsi le feu leur indiquait le chemin de la maison.
L’eau aussi occupe une place importante dans ces rituels en tant qu’élément sacré et source de vie. Au matin de Norouz, les gens s’aspergeaient mutuellement d’eau et devaient se laver avec de l’eau pendant la journée. Cette tradition est certainement liée à Khordad, dieu gardien de l’eau et de la végétation, à qui l’on a dédié le sixième jour de chaque mois.
Bibliographie :   Barhrami Askar  "Les fêtes Iraniennes"
"
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ACHATS SOUVENIRS
Bien sûr,il y a les tapis persans ( il faut avoir le budget, et surtout savoir ou l'installer chez soi)
Céramiques très belles  souvent couleur turquoise.
Bijoux : Bagues argent que le bijoutier ajuste et refait l'anneau au doigt. Bazar Ispahan
Miniatures Ispahan
Tissu type Indienne à Ispahan - renommé savoir faire patrimoine Unesco
Ajouter Tissus Yazd Kashan
Patisseries Yazd 
Hydrolats Kashan - Herboristerie dans tous les bazars

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CHIFFRES
La graphie des chiffres est celle des chiffres indiano persans ( chiffres dits arabes) et il faut un peut s'entrainer., c'est comme en Egypte.

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CHIISME

les Chiites sont d'abord des musulmans. Etre musulman c'est dire :
"J'atteste qu'il n'ya d'autre Dieu qu'Allah, j'atteste que Mahomet est son envoyé". c'est le premier des cinq piliers de l'Islam.
Etre chiite c'est croire, en outre, que seuls Ali, gendre et cousin de Mahomet, et ses descendants, les douze Imams) peuvent être considérés comme les successeurs légitimes de Mahomet. pour les sunnites, Ali est le quatrième calife, après Abu Bekr ( père d'Aicha, jeune épouse du prophète),  Omar et Uthman. L'assasinat de ce dernier donna lieu à des troubles politiques et le califat d'Ali fût contesté par rla famille Omeyyade qui finit par prendre le pouvoir après l'assassinat d'Ali par l'un de ses ex-partisans.
Le personnage d'Ali, symbole de pureté et de courage, occupe une place importante chez les Iraniens. Pour se donner du courage, on invoque Ali en disant  " Ya Ali". Ce dernier fût assassiné le 19 du mois du  Ramadan. L'un de ses fils, Hossein, ainsi que 72 membres de sa famille et de son parti furent tués au cours de la bataille à Kerbala. ( Irak actuel) Les Iraniens font encore le deuil des martyrs tout au long du mois de muharram avec des cérémonies et des processions.

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LE CHIISME  vu par les spécialistes


" La philosophie de la visite pieuse (ziyârat) dans l’islam et dans le chiisme :
un acte de "présence" et d’élévation



"Ô homme ! Toi qui t’efforces vers ton Seigneur sans relâche, tu Le rencontreras alors." (Coran, 84:6)

Le chiisme se caractérise notamment par la place centrale qu’il accorde aux visites pieuses aux sanctuaires des Imâms (ziyârat) qui rythment la vie religieuse de tout croyant. De Karbala à La Mecque, de Najaf à Mashhad, la présence de ces lieux saints se fonde sur toute une conception de l’homme et du rapport qu’il entretient avec son Créateur, mais aussi sur une philosophie de la médiation et de la présence à travers la figure centrale de l’Imâm. Aborder la philosophie de la ziyârat consiste également à entrer dans un islam vécu dans la conscience intime de chaque croyant, et à mieux saisir ainsi les motivations profondes de milliers de pèlerins se rendant chaque jour dans les sanctuaires des Imâms et de leurs descendants présents en Iran, en Irak et en Arabie Saoudite. Elle nous invite également à tenter de mieux comprendre les contours de toute une géographie du sacré, selon laquelle le déplacement terrestre n’est qu’un prélude à un voyage d’un autre type, permettant au croyant de se rapprocher dans cette vie même de la destination ultime : "Ô homme ! Toi qui t’efforces vers ton Seigneur sans relâche, tu Le rencontreras alors." (84:6).

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chiisme - bannières
A Ispahan dans le quartier de La Mosquée du Vendredi

Ispahan procession
Procession Jour de Fatima  Bazar Ispahan
chiisme
Etendards  Chiites

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BIBLIOGRAPHIE
Lonely Planet
Marche sur mes yeux  Serge Michel et Paolo Woods
Passeport à l'iranienne Nahal Tajadod
Sauver Ispahan  Jean Christophe Rufin
Le persan express  Firouzeh Kabiri-Dautricourt
Atlas Les peuples d'Asie centrale
La longue Marche 2   Bernard Ollivier
Une psychanalyse à Téhéran Gohar Homayounpour. préface d'Abbas Kiarostami. 
Dentelles et tchador Amin Aréfi
L'usage du monde Nicolas Bouvier
Grands Reportages   Mars 2014
La Revue de Téhéran


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" Et surtout ici il y a le bleu.
Il faut venir jusqu'ici pour découvrir le bleu. Dans les Balkans, déjà,  l'oeil s'y prépare; en Grèce il domine mais il fait l'important : un bleu agressif remuant commme la mer qui laisse encore percer l'affirmation, les projets, une sorte d'intransigeance. Tandis qu'ici, les portes des boutiques, les licoux des chevaux, les bijoux de quatre sous, partout cet inimitable bleu persan qui allège le coeur, qui tient l'Iran à bout de bras, qui s'éclaire la palette d'un peintre. Les yeux de lapis des statues akkadiennes, le bleu royal des palais parthes, l'émail plus clair de la poterie seljoukide, celui des mosquées savafides et maintenant ce bleu  qui chante et qui s'envole à l'aise avec les ocres du sable, avec le doux vert poussiereux des feuillages avec la neige, avec la nuit..."
"L'usage du monde " Nicolas Bouvier


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Ispahan Mosquée du Vendredi
Mosaique mosquée de Yazd

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Le pain
"Il n'y a vraiment qu'un pays très ancien pour placer ainsi son luxe dans les choses les plus quotidiennes. On sentait bien trente générations et quelques dynasties alignées derrière ce pain là".
Nicolas Bouvier  L'usage du Monde


None, le pain

galettes Pain Iran
galettes de pain  Ispahan

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LES ARTS
Musée national d'Iran

Musée national d'Iran

Musée national d'Iran

Hôtel Abbasi Ispahan Reproduction

Musée national d'Iran



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LE CINEMA
Film Museum of Iran - Je ne connais pas le nom des acteurs et actrices mais tous sont si expressifs . Ce musée situé est à Tajrish est un régal.
musée du Cinéma Teheran
Musée du Cinéma Téhéran
musée du cinéma Teheran
Musée du Cinéma Téhéran

Téhéran film de musée
Musée du cinéma Téhéran

musée du cinéma Teheran
Musée du cinéma Téhéran
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MUSEE D'ART CONTEMPORAIN


Musée Art Contemporain Teheran
Kazem Chalipa  et Iraj Eskandari
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CHANTEUR IRANIEN :


 Mohammad Reza Shadjarian : J'ai le souvenir d'une très belle musique dans le patio de l'hôtel à Shiraz. Cela donnait une ambiance nostalgique, un air d'ailleurs, un je ne sais quoi, un charme, un mystère. C'était Shajarian, une sorte d'improvisation avec un pianiste.


Mohammad Reza Shadjarian

De gauche à droite: Keyhan Kalhor (kamantcheh), Mohammad Reza Shajarian (chant), Homayoun Shajarian (tombak et chant),  Hossein Alizadeh  (goudron)
Ostad Mohammad Reza Shajarian (en persan : محمد رضا شجريان), né le 23 septembre 1940 à Mashhad, est l'un des chanteurs classiques de musique iranienne les plus acclamés.

Carrière[modifier | modifier le code]

Il apprend le chant spirituel dès cinq ans avec son père, puis à douze ans il étudie le répertoire classique (radif) avec Esmaeil Mehrtash, Ahmad Ebadi, Reza Gholi Mirza Zelli, Ghamar Molouk Vaziri, Eghbal Azar, Gholam Hossein Banan et surtout Abdollah Davami, donnant son premier concert à la radio à dix-neuf ans.
Jeune instituteur, il est devenu professeur à l'université de Téhéran, et travaille à la radio et télévision nationale où il a chanté avec les meilleurs instrumentistes iraniens : Parviz MeshkatianMohammad Reza LotfiHossein Alizadeh etFaramarz Payvar.

Talent d'artiste[modifier | modifier le code]

Il s'initie également au santûr sous la férule de Djalal Akhbari, puis de Faramarz Payvar. C'est aussi un bon calligraphe instruit par les maîtres Ebrahim Buzari et Hossein Mirkhani. Son fils Homayoun est aussi chanteur à présent au sein de l'ensemble dirigé par son père : Masters of Persian Music.

Discographie[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • Laudan Nooshin,  Le  New Grove  Dictionary of Music and Musicians , édité par Stanley Sadie, deuxième édition (Macmillan, Londres, 2001)  ( ISBN  1561592390 ) . ( Oxford University  Press, 2001)  ( ISBN  0195170679 ) .